¤ Aion Tousen ¤

PARTIE RPG

Nom : Tousen

Prénom : Aion

Age : 17 ans


Village : Suna

Histoire : Endroit désert noyé dans la brume rougeoyante de l’aurore, il s’arrête et observe. Pas de trace de vie apparente, mais il sait que tout n’est qu’illusion au lever du soleil. Face au vent, il hume l’air frai du matin, guettant la moindre menace. A sa taille, accrochée à sa petite ceinture de cuir, pend une bourse de velours noir incrustée de pierres précieuses. Il est le dernière Gardien de Shukaku …

Dix ans plus tôt, ils étaient venus le chercher au village pour l’emmener. Il n’avait que neuf ans. Comme tous, il avait conscience de l’honneur que lui faisaient les Anciens. Il allait avoir accès à la connaissance suprême et au respect des siens. Pourtant, il n’en voulait pas. Qu’ils choisissent un autre, et non lui. Mais il en était ainsi, il n’avait pas le choix. On lui avait lié les poignets, puis, aveuglé : Il ne reverrait la lumière du jour que lorsque les Anciens l’aurait amené à destination et qu’il se serait montrer digne. Pour l’heure, il n’était qu’un animal à leurs yeux. Ils ne lui adressèrent pas la parole lors du voyage. Mais peu lui importait, il avait perdu la notion du temps dès le troisième jour. Son corps n’était plus que fatigue et douleur … Neuf jours de marche au rythme du pas des chevaux.

« Nous sommes arrivées, que l’on s’occupe de lui ! »
La voix était celle d’une femme, à la fois douce et autoritaire. C’est à cet instant qu’il prit conscience que ses geôliers n’avaient prononcés aucune parole lors de leur venue au village, ni même pendant leur voyage.
« Désormais, tu n’as plus de nom, reprit la femme. Tu en recevras un le jour ou devenue humain tu seras.
- Je m’appelle Aion, hurla-t-il, et je n’ai que faire de ce que vous pensez de moi. »
Un claquement bref et une douleur indicible : les lanières en cuir d’un fouet venaient d’entailler sa chair.
« Préparez-le ! »
Quelqu’un le força à avancer. Toujours aveuglé par le bandeau qu’on lui avait enfilé, il ne savait pas où il allait. On le fit entrer dans une pièce dont le sol, en ciment, était froid. Un collier de cuir fut passé autour de son cou puis il du se déshabiller, leur offrant ainsi sa nudité.
« C’est ici que tu vas vivre dorénavant. Nous commencerons ton éducation dans neuf jours. »
La porte se referma, le laissant seul face à son désespoir. Il n’était qu’un enfant.

Il resta immobile pendant de longues minutes, se contentant de pleurer. Des Anciens, il ne connaissait que l’histoire contée par sa mère. Ils détenaient les secrets de la vie et du savoir. La connaissance était leur force. Nul ne savait quelle apparence ils possédaient. Se déplaçant uniquement à cheval, ils portaient de longues capes noires surmontées de capuches ainsi que des masques. Ils ne parlaient jamais mais ils réussissaient toujours à se faire comprendre.
Coupant court le fil de sa pensée, il se décida à explorer sa cellule. il fit deux pas en avant et se heurta à un mur. Faisant demi-tour, il avança droit devant lui : quatre pas puis de nouveau un mur. il le longea puis se positionna dos à l’autre mur et recommença à avancer : de nouveau quatre pas. il n’avait rencontrée aucun obstacle et en conclue qu’il n’y avait rien dans cette pièce, pas même un lit. Terrassé par la fatigue, il ne tarda pas à sombrer dans un profond sommeil.

« Qu’en pensez-vous ? »
La femme qui venait de prendre la parole était celle au fouet.
« Il fera une excellente recrue, Derdra, mais son éducation risque fort bien de se faire dans la douleur.
- Je le sais, Mère, mais il est vital que nous réussissions. Il est notre seule chance. Il est le dernier possésseur de Shukaku …
- Toi seule le formera. Nulle autre n’en aura le droit. Il doit prendre connaissance de tout notre savoir pour s’acquitter de la mission qui l’attend.
- Je n’échouerai pas, je vous en fait le serment. »
Derdra regarda sa mère s’éloigner puis elle reporta toute son attention sur son jeune captif. Ce dernier dormait d’un sommeil agité. Elle soupira. Avaient-elles eu raison de faire ce choix ? Elle l’ignorait, mais l’arrivée de cet enfant signifiait leur mort. A tous.


Lorsqu’ilse réveilla, Aionl prit conscience de sa situation. Prisonnier des Anciens, il fallait qu’il trouve le moyen de s’échapper. Sa mère lui avait toujours répétée qu’il possédait une intelligence plus développée que les autres et que cette dernière faisait sa force. Qu’à cela ne tienne, il allait s’en servir, ici et maintenant. Il se montrerait docile, mais dès que l’occasion se présenterait à lui, il s’enfuirait. Un sourire habile naquit sur ses lèvres. Il ferait de leurs armes les siennes.


Description morale : D’un naturel calme, Aion réfléchi toujours avant d’agir, choisissant toujours l’option qui lui serait la plus favorable à elle et aux autres individus. Bienveillant et Généreux, il n’hésite jamais à offrir ses biens aux plus pauvres selon ses possibilités afin de les sortir de la carence. Il à passée beaucoup de temps à observer les êtres vivants, qu’ils soient de race humaine ou animale, il peut ainsi prévoir la plupart des réactions et peut-être même en provoquer certaines. Doux et taciturne, il ne s’ouvre aux individus que si elle l’entend. Il est difficile de faire céder Aion par le chantage, il s’est toujours débrouillé comme elle le pouvait dans ce monde déchiré par les guerres. Il ne fait de mal aux autres êtres-vivants que si c’est nécéssaire, préférant de loin la voie de la diplomatie. Il est une personne très discrète, passant très facilement inaperçue, cependant, lorsqu’il se met à converser, il se transforme en une créature pleine de charisme que les individus écoutent avec respect. Se mêlant peu à la société, il préfère vivre à l’écart des gens, ou dans des endroits peu peuplés. En soi, il est un jeune garçon pensif, contemplatif et philosophe, la solitude est l’une de ses meilleure alliée et c’est souvent avec elle qu’il se ressource. Les conflits l’indispose, et, n’aimant pas l’injustice, il à prit l’habitude de prendre parti pour celui ou celle qu’il juge plus juste que l’autre, réglant ainsi de nombreuses oppositions. Il ne se range jamais aux cotés des rebelles, sauf si leur cause rejoint la sienne. Comme l’énonce si bien ce proverbe, il à la tête bien au dessus des nuages, mais les pieds sur Terre.

Description physique : Pourvu d’un visage fin à la peau basanée et aux reflets cuivrés, Aion est une personne de très propre en soi, cela se confirme à l’éclat de ses cheveux couleur miel harmonisés par de magnifiques reflets dorés. Ils sont lisses et coulent le long de sa nuque. Ses yeux mordorés luisent comme ceux d’un chat lorsqu’ils sont exposés à la moindre petite source de lumière. Ses lèvres fines sont pour la plupart du temps assemblée, car converser n’est pas la chose qu’il fait le plus souvent. Son corps à été magnifiquement sculpté à un détail près, lui donnant une silhouette modèle et privilégiant ses capacités étonnantes. Ses gestes sont précis, agiles et déliés.

Test RP pour savoir votre niveau :

[Petit RP que j'ai fait il y a peu sur un autre forum RPG]

Il était environs midi, et à cette heure-ci de la journée, le soleil demeurait haut dans le ciel. La chaleur était étouffante et Crystal suffoquait en transpirant à grosses gouttes. Elle avait fait l’erreur ce midi de ne pas boire à la fontaine avant de partir et à présent, elle regrettait amèrement. Sa bouche était pâteuse et sèche, elle risquait à tout instant de s’effondrer. Il fallait pourtant continuer de marcher afin d’arriver à temps pour l’heure du déjeuner. Sa mère ne l’attendant jamais. « Après l’heure, c’est plus l’heure ! » disait-elle sans arrêt. Ce qui fait qu’il n’était pas rare que la jeune fille passe certains repas.
Les rues d’Athènes était prestigieuses. Partout où le regard de Crystal se posait, tout n’était que merveille. Les illustres villas des riches quartiers du nord étaient d’une finesse et d’une beauté inégalable. Leurs murs de marbres étaient épais et gardaient la fraîcheur en leurs seins. Les cours d’entrée étaient munies de pavés d’un blanc immaculé avec quelques statues et arbres bien taillés ainsi qu’en son centre une fontaine sertie d’or et d’argent. Celle de Crystal était de loin l’une des plus belles de tout le quartier. Elle était montée sur deux étages et possédait une cour au devant qui se prolongeait par derrière avant de continuer jusqu’à la mer où une plage privée leur appartenait et où l’on accédait en clopinant sur un magnifique chemin pavé bordé d’arbres et de fleurs que les jardiniers venaient tous les jours entretenir avec leurs produits si spéciaux et miraculeux.
La jeune fille entra par la cour de devant et courue jusqu’à la fontaine. Elle se désaltéra en buvant de longues et interminables gorgées de cette eau si saine et froide avant de s’en asperger le visage afin de se rafraîchir. Elle se sentit déjà beaucoup mieux et se dirigea d’un pas rapide vers le jardin qui se situait à l’Est, près des belles plages de Grèce. Elle jeta furtivement un coup d’œil vers le cadran solaire et constata qu’elle était en retard de plusieurs heures. Tout en soupirant, elle se convainquit que ce n’était ni de sa faute, ni celle de personne d’autre. Il fallait la comprendre, la chaleur était pesante et elle avait eu beaucoup de mal à cheminer à travers la foule de personnes qui, à cette heure-ci de la journée occupaient les rues de la ville. Et puis, l’académie n’était pas toute proche. Elle se situait dans les quartiers Sud-Ouest de la cité. Coupant cour à ses pensées, elle jeta un regard envieux vers le port. Pourquoi ses parents lui interdisaient-ils d’y aller ? Etait-elle trop jeune à leurs yeux ? Pourtant, elle avait presque atteint la maturité : elle avait tout de même 16 ans. Non. Ce devait être autre chose … si seulement elle pouvait …
« Crystal ! C’est présentement que vous rentrer ? Malgré tout ce que nous faisons pour vous, vous n’êtes pas encore capable d’être une jeune fille ponctuelle ! Vous faîtes honte à notre famille ! »
La jeune fille baissa la tête se retourna lentement. Comme si un énorme fardeau la ralentissait sobrement dans ses gestes. Elle fit face à sa mère, en faisant attention à ne pas la regarder dans les yeux. Voilà ce que répliquait sans arrêt cette femme qui se prenait pour une mère. C’était inlassablement la même chose … Et Crystal savait parfaitement le châtiment que cette mère lui réservait …
« Puisque vous n’avez toujours pas compris la leçon, vous serez privée de repas ! A présent, sortez ! Je ne veux plus vous voir traîner dans les parages ! Vous n’avez qu’a attendre devant l’académie si sa vous chante, mais ne remettez plus les pieds ici avant ce soir ! »
La ventre de la jeune fille se mit à gargouiller plus fort que d’habitude. Elle commençait seulement à prendre conscience qu’elle ne mangerais pas avant ce soir … si toutefois elle arrivait à l’heure.
Dépitée, elle retourna d’un pas lent vers la porte de la cour d’entrée avant de se diriger dans le dédalle de rue qui menaient à l’académie … Comme à son habitude.

La froideur de la nuit façonnait l’effet d’un contraste saisissant avec la chaleur qui avait parsemée la journée précédente. Crystal était en robe de nuit, adossée au parapet du balcon de marbre blanc à sa fenêtre. L’astre lunaire, disque argenté et immaculé éclairait le jardin et la cour comme si elle avait été en plein jour. La seule différence résidait dans le ciel : Le bleu marine de la voûte parsemé de petites tâches blanches que les physiciens de la ville appelaient étoiles. Elles étaient si loin disaient-ils … mais pourtant si proches.
Les rues étaient désertes. La seule source de bruit provenait des soldats armés de lances qui effectuaient régulièrement des rondes dans le quartier afin de s’assurer qu’aucun étranger ne venait perturber la quiétude des habitants. Jusqu’à présent, cette patrouille de nuit avait toujours effrayer les plus cupides et avares des voleurs. On pouvait donc dire que le but principal de ces rondes était authentifié.
Un sentiment de tristesse envahit les pensées de Crystal. Elle baissa les yeux et sombra dans un méli-mélo de songeries … Sa vie ne ressemblait à rien. Elle ne s’amusait pas. Tout ce qu’elle faisait de ses journées, c’était aller étudier, et batailler pour rentrer déjeuner et dîner en temps et en heure. Elle en avait assez ! Elle devait réagir puisque ses parents ne daignaient pas le faire. Au commencement, elle avait pleuré parce qu’elle était à bout de nerf. Puis peu à peu, elle s’était habituée à cette constante solitude qui l’accompagnait où qu’elle aille. Elle n’avait jamais rencontré de beaux garçons avec qui elle avait pus flirter et pour quelle raison ? Parce que ses parents considéraient ces sorties comme une perte de temps. Mais elle en avait assez ! Assez de cette soumission. Elle voulait être libre de ses actes, libre de choisir ce qu’elle voulait faire de sa vie !
Elle se retourna et s’allongea sur son lit. Des larmes coulaient le long de ses joues. Elle ne pouvait pas les retenir. Au fond, même si elle paraissait psychologiquement forte, elle était une âme sensible en peine. Elle se mis sur le coté droit du lit et ferma les yeux, laissant son chagrin l’envahir pour finir par l’endormir dans un profond sommeil … Ne dit-on pas que la nuit porte conseil ?

Crystal ouvrit les yeux. La pénombre était complète … Elle avait laissée la fenêtre ouverte et des frissons parcouraient son bras de bas en haut. Elle se recroquevilla sur elle même et ferma les yeux. Soudain, elle se rappela quelle était la chose qui l’avait réveillé : une idée. Elle réouvrit les yeux et scruta la noirceur de la pièce avant de se lever et de mettre ses petites pantoufles. Elle était une jeune fille svelte et légère puisqu’elle ne mangeait que très peu. Le sol ne craquait donc pas sous le poids de son corps si fin et délicat. Tout en passant par la porte de sa chambre, elle jugea préférable de garder sa chemise de nuit et ce malgré la fraîcheur de la nuit. Elle risquait de réveiller la maison. Marchant à pas feutrés, elle se glissa au rez-de-chaussée avant de se diriger vers les cuisines. Elle pris un petit sac en peau de Daim qu’elle remplie de viande séchée et de diverses choses à manger ainsi qu’une gourde qu’elle alla remplir à la fontaine. Une fois cela fait, elle observa pendant plus d’une heure les heures de rondes des soldats armés. Leurs passages étaient distancés d’environs 10 à 15 minutes. Pas plus et pas moins. Elle compta sur ses doigts qu’il fallait environs au minimum bien 20 minutes pour atteindre le port qui se trouvais en au Sud-Est de la citée. Tant pis ! Il fallait tenter le tout pour le tout et ne pas revenir en arrière. Elle n’en avait pas envie … Ah sa non ! Elle n’avais pas envie de vivre une journée de plus dans cet endroit. Elle avait bien tout préparé. Si tout se passais bien, demain matin, elle serais bien loin d’ici … Doucement mais sûrement, elle entama sa descente vers le port …

Type de Combat : Ninjutsu / Taïjutsu

Affinités : Futon

Rang souhaité : Anbu

PARTIE HRPG

Prénom : Loïc

Age : 13 ans

Ville : Paris

Comment avez vous connu le forum ? Via un Top Site

Très bien meme si tu n'as pas fini!!

Alors voila, c'était juste pour prévenir que j'ai terminé ma fiche et que comme dans mon histoire il est cité que j'ai Shukaku je suis près à faire le test RP

Tu es Validé et Anbu personnel du Kazekage (MOIIII!!^^). Et pour Shukaku bah. . .^^

Merci Je fais moi même le RP pour Shukaku ? Disons que je voudrais que le RP soit en quelque sorte un retour dans le passé ^^ comment à-ton sceller le démon en moi

d'accord!!^^

bienvenue a toi ^^

Donc sa ne dérange personne que je ne fasse pas de combat ? Puisque quand il à été sceller en moi je n'était qu'un enfant ?

Aion Tousen a écrit:

Donc sa ne dérange personne que je ne fasse pas de combat ? Puisque quand il à été sceller en moi je n'était qu'un enfant ?

moi sa me dérange pas mais faut voir avec ton kazekage ^^

Moi sa ne me dérange pas mais Narade ne sera pas de cet avis je pense!! ^^

En fait c'est assez compliqué ^^ Pour résumer, dans mon histoire, il est écrit que je possède Shukaku depuis la naissance ^^ Mais pour le posséder je dois normalement faire un RP qui me permettra de l'avoir ^^ Seulement comme mon personnage à 17 ans il faudrait que je fasse un RP " Flash Back " donc un RP du passé. C'est embettant x). De plus, je n'ai pas encore mes techniques, puisque elles sont pratiquement toutes pareilles que celles de Gaara hors il faut avoir Shukaku pour posséder ses techniques. Donc en conclusion je peux pas faire de combat contre le démon.

Ma question est, étant donné mon niveau de RP [J'ai regarder les autres fiches ^-^] Comment je fais ? ^-^

Voila, au plaisir de vous lire

Aion.

Aion Tousen a écrit:

En fait c'est assez compliqué ^^ Pour résumer, dans mon histoire, il est écrit que je possède Shukaku depuis la naissance ^^ Mais pour le posséder je dois normalement faire un RP qui me permettra de l'avoir ^^ Seulement comme mon personnage à 17 ans il faudrait que je fasse un RP " Flash Back " donc un RP du passé. C'est embettant x). De plus, je n'ai pas encore mes techniques, puisque elles sont pratiquement toutes pareilles que celles de Gaara hors il faut avoir Shukaku pour posséder ses techniques. Donc en conclusion je peux pas faire de combat contre le démon.

Ma question est, étant donné mon niveau de RP [J'ai regarder les autres fiches ^-^] Comment je fais ? ^-^

Voila, au plaisir de vous lire

Aion.

tu c moi j ai un bon nivo en rp mais dison que j ai la fléme de faire le mien bref comme la dit dral kun
Narade ne sera pas du tout de cette avis ^^

Donc je ne peux pas posséder Shukaku .. Ouki pas grave tant pis ^^